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Le 12 janvier, ministre des Affaires étrangères et Président en exercice du Conseil, Jean Asselborn s’est adressé au Parlement européen au sujet du tsunami en Asie.
Après avoir relaté les différentes étapes de l’action de l’Union européenne, il a exposé les différentes mesures prises par le Conseil pour répondre au mieux à l’urgence de la situation sur un plan financier, matériel et sanitaire. Il a également évoqué les moyens financiers et opérationnels à la hauteur de l’enjeu pour les phases successives de réhabilitation et de reconstruction qui devraient être engagés dans la région.
Sur le plan financier, Jean Asselborn a annoncé "que l’aide publique combinée de l’Union européenne et des Etats membres en faveur des victimes du tsunami (aide d’urgence et aide à la reconstruction) s’élève actuellement à un milliard et demi d’euros. Toutefois, le Conseil n’a pas manqué de rappeler que cet effort ne doit pas faire oublier la problématique générale du développement, de l’aide humanitaire et des objectifs de développement du millénaire, notamment en Afrique, ni diminuer les ressources à cet effet."
Sur le plan sanitaire, "les Etats membres ont été invités à rassembler leurs efforts sous l’égide de l’OMS afin de prévenir les risques d’épidémies et pour restaurer les infrastructures sanitaires par l’envoi de matériel et d’équipes médicales appropriés. L’UE et ses Etats membres agiront au soutien de l’OMS."
Concernant les mesures à plus long terme, "le Conseil a souhaité que la capacité de l’Union européenne à faire face à de telles catastrophes majeures soit renforcée et a indiqué sa volonté de se doter des instruments suivants :
"Le Conseil souhaite également développer les capacités de réponse rapide de l’UE en se dotant de structures appropriées de planification, de coordination et de mobilisation des moyens. Au-delà du renforcement de la coopération consulaire il faut prévoir d’autres mesures comme :
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