Note: Votre navigateur n'affiche pas correctement ce site parce qu'il s'agit d'une version relativement ancienne d'un navigateur ou parce qu'il ne respecte pas les standards généralement préconisés pour les pages web. Pour en savoir plus lisez nos notes de conception.
L’Union européenne a évoqué à différentes occasions dans le passé le dossier de la disparition et du meurtre de Giorgiy Gongadze et elle a exprimé sa préoccupation concernant l’absence de progrès dans l’enquête y relative.
C’est donc avec une grande satisfaction que nous avons appris les récents développements dans le cas Gongadze, qui démontrent la claire volonté des autorités ukrainiennes de s’attaquer aux séquelles du passé. L’indépendance des médias et la liberté d’expression ainsi que la primauté du droit sont des composantes importantes de la démocratie, et l’Union européenne voudrait, pour cette raison, encourager les autorités ukrainiennes à poursuivre leurs efforts à cet égard.
L’Union européenne saisit cette occasion pour réitérer son soutien à la poursuite par l’Ukraine de réformes démocratiques et économiques, de même qu’elle apprécie à sa juste valeur l’Ukraine en tant que voisine et partenaire clé d’une importance stratégique.
Dans ce contexte, la récente adoption du Plan d’action relatif à la Politique européenne de voisinage dote l’Union européenne et l’Ukraine d’un cadre plus étendu pour renforcer encore davantage nos relations et pour approfondir de cette façon aussi bien notre intégration économique que notre coopération politique. L’Union européenne est convaincue que ce Plan d’action, en empêchant la formation de nouvelles lignes de séparation en Europe, promouvra la stabilité, la sécurité et le bien-être non seulement en faveur de la population ukrainienne, mais aussi pour l’ensemble de la région de l’OSCE.
Les pays candidats la Bulgarie, la Roumanie, la Turquie et la Croatie1 se rallient à cette déclaration.
1La Croatie continue à participer au processus de stabilisation et d'association
Copyright © Gouvernement luxembourgeois