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Durant son intervention, le 23 mars 2005, sous le point 9 (situation par pays) de l’ordre du jour de la Commission des Droits de l'Homme 61 à Genève, la Présidence luxembourgeoise, s’exprimant au nom de l’Union européenne, a fait la déclaration suivante s’agissant de la situation des Droits de l’Homme au Zimbabwe :
"L’Union européenne se montre fortement préoccupée par les violations graves des droits de l’homme au Zimbabwe. Une législation répressive et son application arbitraire ont été utilisées systématiquement comme moyens d’intimidation contre la population du Zimbabwe. La pratique de la torture, les détentions arbitraires et la violence restent très répandues. Nous demandons instamment au gouvernement du Zimbabwe de rétablir la démocratie, de respecter les droits de ses citoyens, de réformer cette législation répressive, d’arrêter l’utilisation des milices, de l’armée et de la police pour intimider les civils et de respecter ses obligations internationales en matière de droits de l’homme. Nous demandons également au gouvernement du Zimbabwe d’assurer que les élections parlementaires se déroulent en plein respect des standards internationaux."
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