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[Luxembourg 2005 Présidence du Conseil de l'Union européenne]
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Communiqué
Jean-Claude Juncker a rencontré le ministre néerlandais des Finances Gerrit Zalm

Date de publication : 01-03-2005

Domaine politique : Affaires économiques et financières


Le Premier ministre, ministre des Finances, Jean-Claude Juncker en ses qualités de Président en exercice du Conseil "Affaires économiques et financières" de l’Union européenne et de Président de l’Eurogroupe a rencontré, le 1er mars 2005 à Luxembourg, le Vice-Premier ministre, ministre des Finances, des Pays-Bas Gerrit Zalm.

L’entrevue entre MM. Juncker et Zalm a essentiellement porté sur l’examen du pacte de stabilité et de croissance qui sera à nouveau à l’ordre du jour des réunions de l’Eurogroupe et du Conseil "Affaires économiques et financières" les 7 et 8 mars prochains.

Comme il est attendu que cette dernière réunion de ministres des Finances de la zone Euro et des ministres des Finances et de l’Économie de l’Union européenne avant le Conseil européen des 22 et 23 mars 2005 permette de dégager un accord politique sur la réforme du pacte, Jean-Claude Juncker et Gerrit Zalm ont abordé les questions devant être résolues la semaine prochaine.

À l’issue de la réunion, le Premier ministre Jean-Claude Juncker a fait la déclaration suivante :

"L’entrevue aujourd’hui avec Gerrit Zalm a été importante, dans la mesure où les vues de mon collègue néerlandais alimenteront utilement la recherche d’un accord que la Présidence est en train d’entreprendre dans ce domaine. Avec Gerrit, nous sommes d’accord pour faire en sorte que le pacte de stabilité et de croissance ne perdra rien de son mordant lorsqu’il s’agira de lutter efficacement contre les niveaux de déficit et de dette incompatibles avec l’objectif de stabilité à moyen terme. Mais nous sommes également de l’avis que l’application du pacte devra être économiquement plus intelligente, c’est-à-dire plus contraignante en période de haute conjoncture et, sous condition du respect de ces contraintes, plus souple en période de ralentissement économique substantiel, sans que cette souplesse ne puisse être appliquée de façon discrétionnaire par un État membre mais devra se baser sur un catalogue de dépenses pouvant satisfaire à des critères définis en terme de croissance, de compétitivité et de durabilité des finances publiques."  




Dernière mise à jour de cette page le : 01-03-2005

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