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[Luxembourg 2005 Présidence du Conseil de l'Union européenne]
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Communiqué
Jean-Claude Juncker a participé aux réunions des ministres des Finances du G7 à Londres

Date de publication : 05-02-2005

Domaine politique : Affaires économiques et financières


Le Premier ministre, président en exercice du Conseil "Affaires économiques et financières" et président de l'Eurogroupe, a participé aux réunions des ministres des Finances du G7 qui se sont tenues les 4 et 5 février 2005 à Londres.

Les ministres des Finances et gouverneurs des banques centrales des sept pays les plus industrialisés du monde (Allemagne, Canada, Etats Unis, France, Italie, Japon et Royaume Uni) et des représentants d'institutions européennes (Conseil et Banque centrale européenne) et internationales (Fonds monétaire international et Banque mondiale) ont fait un tour d'horizon des principales questions économiques internationales.

Dans leur communiqué final, les participants soulignent ainsi que des défis importants sont à relever à court et à moyen terme, tels que la consolidation financière et budgétaire aux Etats-Unis et au Japon ou les réformes structurelles au niveau des marchés du travail et des systèmes de sécurité sociale en Europe.

Pour Jean-Claude Juncker, l'Union européenne est en train d'apporter des réponses aux questions soulevées par les réformes structurelles, notamment en recentrant la stratégie de Lisbonne et en réformant l'application du pacte de stabilité et de croissance. "Le plus important, a dit Jean-Claude Juncker, sera d'améliorer la gouvernance du processus de Lisbonne," par laquelle les Etats membres devront s'investir davantage dans la mise en oeuvre du processus, via des plans d'action nationaux.

"Tous les points énoncés dans le communiqué du G7 sont adressés par le recentrage du processus de Lisbonne et la réforme de l'application du pacte," a dit Jean-Claude Juncker.

Les ministres des Finances du G7 ont également eu de longues discussions sur la coopération au développement, notamment dans le cadre de l'initiative britannique sur l'allègement de la dette des pays les plus pauvres. Pour Jean-Claude Juncker, cette initiative mérite un suivi substantiel au niveau européen. Pour cette raison, le président en exercice du Conseil "Affaires économiques et financières" a annoncé que ce sujet sera inscrit à l'ordre du jour des réunions de ce Conseil en février, mars et avril, et figurera en haut de l'affiche de la réunion informelle des ministres des Finances et de l'Economie, les 13 et 14 mai à Luxembourg.

Pour ce qui est de modèles de financement alternatif de la coopération au développement, le G7 a salué l'initiative de l'Allemagne et de la France de réfléchir dès à présent à ces modèles. Pour le Président Juncker, il est évident que l'Union européenne devra s'associer à ces efforts, surtout en raison du fait que "les pays européens ne sont plus en mesure d'atteindre les objectifs du millénaire, définis par les Nations Unies en 2000, par leurs seuls moyens budgétaires. Des sources de revenu alternatives sont donc indispensables," a conclu Jean-Claude Juncker.




Dernière mise à jour de cette page le : 08-02-2005

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